Sortie prévue lundi 28 novembre matin

Merci de me dire si vous êtes disponible(s) pour nous accompagner.

L'univers d'Edvard Munch

Peintures du Kunstmuseum de Bergen
Estampes de la collection Gundersen
Dans le cadre de la XX^e édition du festival Les Boréales, plateforme de création nordique.
5 Novembre 2011- 22 janvier 2012

Cette exposition présente à Caen l'univers du plus grand peintre de l'Europe du Nord, Edvard Munch. L'oeuvre de cet
artiste de la modernité se déploie en confrontant deux modes d'expression essentiels chez lui : la peinture et l'estampe ; cette dernière technique avec laquelle il a entretenu une relation privilégiée, lui a permis d'atteindre plus rapidement qu'en peinture, ce degré d'expression et cette puissance synthétique qu'il a recherché éperdument.

Soirée sur l’avenue Karl Johan, 1892, huile sur toile © Werner Zellien, kunstmusuem de Bergen
© The Munch Museum / The Munch-Ellingsen Group / Adagp, Paris 2011.

Les quinze tableaux proviennent du Kunstmuseum de Bergen, l'une des plus importantes collections de peintures de Munch au monde. Ils ont été exécutés dans les années 1890, probablement les plus créatives et les plus denses. L'exposition évoque ainsi les thèmes essentiels de son oeuvre que constituent la femme, l'amour, le sexe, la maladie, la mort. Elle met en évidence l'aspect introspectif de la peinture de Munch.

Les cinquante estampes, lithographie et la gravure sur bois, issues de la collection Gundersen, n’ont jamais été montrées en dehors des frontières norvégiennes. Une collection qui peut se vanter de posséder l'une des deux versions du Cri, coloré en rouge, orange, bleu et vert, par l'artiste lui-même. Plusieurs séries fameuses sont aussi représentées, comme la célèbre Madone (cinq versions) et L'enfant malade (trois versions).

L'un des attraits de cette exposition est de montrer l'unité de la démarche de Munch peintre et Munch graveur. Ainsi, le
visiteur peut-il aborder dans le même regard le thème énoncé en peinture et ses variations en gravure. Mélancolie, l'un des chefs-d'oeuvre du musée de Bergen (1894) sera accompagné des trois interprétations gravées (datées de 1902) de la collection Gundersen. Un dialogue qui fera apparaître la puissante personnalité de celui qui conçut sa création comme le miroir de sa vie intime.

Le cri, gravure coloriée à la main © Collection Gundersen
© The Munch Museum / The Munch-Ellingsen Group / Adagp, Paris.

La Barbe Bleue de Charles Perrault

Edité par Hachette Education paru en mai 2003

Conte

Résumé du livre:

Un homme très riche a une barbe de couleur bleue, c'est pourquoi on le surnomme « La barbe bleue ». Cette barbe le rend laid et terrible et dégoûte les femmes. Il a déjà eu plusieurs épouses et on ne sait pas ce qu'elles sont devenues. Il propose cependant à une voisine d'épouser une de ses deux filles, mais aucune ne le souhaite. Finalement, l'une d'elles accepte, séduite par les richesses de la Barbe Bleue.

Un mois après les noces, la Barbe bleue doit partir en voyage. Il confie à sa jeune femme un trousseau de clefs ouvrant toutes les portes du château, mais il y a une petite pièce où elle ne doit entrer sous aucun prétexte. Curieuse, elle pénètre cependant dans la pièce interdite et y découvre tous les corps des précédentes épouses, accrochés au mur. Effrayée, elle laisse tomber la clef, qui se tache de sang. Elle essaye d'effacer la tache, mais le sang ne disparait pas car la clef est magique.

La Barbe bleue revient par surprise et découvre la trahison de sa femme. Furieux, il s'apprête à égorger cette épouse trop curieuse, comme les précédentes. Celle-ci attend la visite de ses deux frères et le supplie de lui laisser assez de temps pour prier. Le monstre lui donne un quart d'heure. Pendant ce temps, sa sœur Anne monte dans une tour d'où elle cherche à voir si leurs frères sont sur le chemin. La malheureuse demande à plusieurs reprises à sa sœur Anne si elle les voit venir, mais cette dernière répète qu'elle ne voit que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie. Barbe bleue crie et s'apprête à l'exécuter avec un coutelas, il la tient par ses cheveux. Les frères surgissent enfin et le tuent à coups d'épée. Elle hérite de toute la fortune de son époux, aide sa sœur à se marier et ses frères à avancer dans leurs carrières militaires. Elle épouse ensuite un honnête homme qui la rend enfin heureuse.

Louis XIV

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Extraits de mon quotidien "La France"

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